Refrain : Je crie, je meurs mais personne ne comprend.

Tafè l’a fait ! Il n’a pas feint de le faire parce qu’il avait toujours faim, de se faire une nouvelle chaire fraîche ou sèche. Même si la fente vient d’une ange de la crèche, pourvu que la brèche soit écartelée et fendue à coup de rein frénétique.

Je me tais de ce fait, sinon je ferai ce que ferait une victime vincible devant la masse charnelle du bourreau.
Qu’est-ce que mes jurons feront en ce moment à Satan ,quand mon jupon était déjà à la descente ?
Qui suis-je même en ce moment?
Ève, la pécheresse, l’axe-faiblesse, le sexe faible.
Mes propres efforts m’essoufflaient , l’étreinte du gourou m’etouffait.
Je devais avant tout laisser faire , sans possibilité de bras de fer.
Toutes les pages de mes entrailles sont fouillées! Toutes les mailles de mes entraves sont souillées.
Mon sang crie vengeance, ma voix faiblit face aux bruits hypocrites de la société.

Je me tais sans froncer mon front,
je me tais sans fermer mes yeux,
Je me tais , mais mon épée et mon arme à feu restent plus grandes que les canons de Dods.
je suis TASSI HANGBE , je ne m’annonce plus, je suis l’Amazone.

Refrain : Je crie , je meurs mais personne ne comprend.

L’Amazone Des Lettres

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *