L’athlétisme kényan a encore frappé fort aux Jeux Olympiques de Paris 2024. Beatrice Chebet, déjà auréolée d’or sur 5000 mètres, a confirmé son statut de reine du fond en s’imposant sur la distance reine, le 10 000 mètres. Avec ce doublé historique, la jeune Kényane de 24 ans entre dans la légende de l’athlétisme.

Une domination sans partage

Détentrice du record du monde de la discipline, Chebet était la grande favorite de cette finale. Elle n’a pas déçu les pronostics, dominant la course de bout en bout. Malgré une dernière ligne droite très disputée avec l’Italienne Nadia Battocletti, la Kényane a su garder son sang-froid pour franchir la ligne d’arrivée en tête. Battocletti décroche l’argent, tandis que la Néerlandaise Sifan Hassan, championne olympique en titre, complète le podium.

Un doublé historique

Ce doublé sur 5000 et 10 000 mètres est une première pour Chebet, mais aussi pour le Kenya sur ces deux distances lors des mêmes Jeux Olympiques. La Kényane succède ainsi à de grandes championnes comme Hellen Obiri et Faith Kipyegon, qui ont longtemps dominé le milieu-fond féminin.

Le Kenya, puissance mondiale du fond

Une fois de plus, les Kényanes ont démontré leur suprématie sur les courses de fond. Avec les médailles d’or de Chebet, le Kenya s’affirme comme la nation dominante de cette discipline aux Jeux de Paris 2024. Cette nouvelle victoire vient renforcer la réputation du pays de l’Afrique de l’Est, véritable pépinière de talents en matière d’athlétisme.

Une nouvelle ère pour l’athlétisme féminin

Les Jeux de Paris 2024 marquent une nouvelle ère pour l’athlétisme féminin. La jeune génération, incarnée par Chebet, Hassan… a montré qu’elle était prête à prendre le relais des anciennes. Avec des performances de haut niveau et des courses toujours plus disputées, l’avenir de l’athlétisme féminin s’annonce prometteur.

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