Africa Women Tech Festival 2025 : Entrepreneuriat Féminin à l’Ère des Technologies Émergentes

L’avenir de la technologie en Afrique est féminin. Le 9 mai 2025, la Maison des Jeunes d’Amadahomé (Lomé), à travers l’incubateur NUNYALAB, a vibré au rythme du lancement de la deuxième édition de l’Africa Women Tech Festival (AWTF). Placé cette année sous le thème « Entrepreneuriat Féminin à l’Ère des Technologies Émergentes », ce festival a réuni plus de 100 femmes audacieuses, créatives et visionnaires venues s’inspirer, se former et se connecter autour d’une même ambition : transformer la tech africaine par et pour les femmes.

Loin des discours convenus sur l’inclusion, AWTF agit. Lancé en 2024 par Oneigo, sous la direction de Moussa NASSAKOU, le festival s’inscrit dans un mouvement ayant pour mission de former, connecter et propulser les femmes africaines dans l’industrie technologique. Depuis sa première édition, plus de 500 femmes ont déjà rejoint cette initiative ambitieuse, véritable catalyseur de changement.

Dès l’ouverture, le ton est donné avec un premier panel intitulé « Briser les stéréotypes : les femmes leaders », qui a marqué les esprits par la qualité des échanges et la force des témoignages. Les intervenants : Binta Barry (Product Manager chez Semoa Group), Eméfa Bernice Edrih (doctorante en médecine et cofondatrice de Clicare) et Hassan Piou (CEO & Développeur, fondateur de Kiiako) ont démontré que le leadership n’a pas de genre, mais une vision, du courage et un profond engagement à faire bouger les lignes. Ils ont inspiré l’assistance par leurs parcours, leurs combats, et surtout, leur volonté commune de voir davantage de femmes leaders, visibles et valorisées, dans tous les secteurs d’activité, y compris la tech. Le message : le genre ne détermine pas la capacité à diriger, innover ou impacter.

Ensemble, ils ont souligné que le changement commence par la visibilité, mais s’ancre durablement dans l’action collective.

Cette dynamique s’est poursuivie avec la première keynote, portée par Hassan Piou, qui a présenté Kiiako, une solution tout-en-un qui permet aux entrepreneurs de créer facilement leur boutique en ligne, à leur image. Accessible, intuitive et inclusive, Kiiako, plus qu’un outil technique, est un accélérateur d’indépendance économique, en particulier pour les petites structures souvent marginalisées dans l’économie numérique. Hassan Piou a rappelé à l’assistance que les femmes aussi pouvaient concevoir , coder et lancer ce type de solution.

“𝘓’𝘪𝘯𝘯𝘰𝘷𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯, 𝘤’𝘦𝘴𝘵 𝘤𝘳𝘦́𝘦𝘳 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘮𝘢𝘯𝘲𝘶𝘦 𝘢𝘶𝘵𝘰𝘶𝘳 𝘥𝘦 𝘴𝘰𝘪, 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘭𝘦𝘴 𝘮𝘰𝘺𝘦𝘯𝘴 𝘲𝘶𝘦 𝘭’𝘰𝘯 𝘢, 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘪𝘮𝘱𝘢𝘤𝘵𝘦𝘳 𝘥𝘶𝘳𝘢𝘣𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵.” a-t-il souligné

Deux temps marquants de partage d’opportunités ont ensuite rythmé la journée. La première intervention, menée par Ella Assaba A. Byll épouse Bodet, fondatrice de Cha & Car, a mis en lumière son parcours d’entrepreneure résiliente, déterminée à impacter l’économie locale par le digital. À travers son expérience et son entreprise Cha & Car, elle a présenté des perspectives concrètes dont les participantes peuvent bénéficier.

𝗘𝗹𝗹𝗲 les a par ailleurs encouragées 𝗮̀ 𝗼𝘀𝗲𝗿 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗲𝗻𝗱𝗿𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝗱𝗶𝗴𝗶𝘁𝗮𝗹, 𝗮̀ 𝘀𝗲 𝗳𝗼𝗿𝗺𝗲𝗿, 𝗮̀ 𝘀𝗲 𝗽𝗼𝘀𝗶𝘁𝗶𝗼𝗻𝗻𝗲𝗿 𝘀𝘂𝗿 𝗱𝗲𝘀 𝗺𝗲́𝘁𝗶𝗲𝗿𝘀 𝗱’𝗮𝘃𝗲𝗻𝗶𝗿, 𝗲𝘁 𝘀𝘂𝗿𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗮̀ 𝗰𝗿𝗼𝗶𝗿𝗲 𝗲𝗻 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗰𝗮𝗽𝗮𝗰𝗶𝘁𝗲́ 𝗮̀ 𝗶𝗻𝗻𝗼𝘃𝗲𝗿.

Pour elle, “𝘐𝘭 𝘯𝘦 𝘧𝘢𝘶𝘵 𝘱𝘢𝘴 𝘢𝘵𝘵𝘦𝘯𝘥𝘳𝘦 𝘥’𝘢𝘷𝘰𝘪𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘴𝘦 𝘭𝘢𝘯𝘤𝘦𝘳. 𝘐𝘭 𝘧𝘢𝘶𝘵 𝘤𝘰𝘮𝘮𝘦𝘯𝘤𝘦𝘳 𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘤𝘦 𝘲𝘶’𝘰𝘯 𝘢, 𝘭𝘢̀ 𝘰𝘶̀ 𝘰𝘯 𝘦𝘴𝘵.”

A sa suite, Kom Ognamè Osspiss, Consultant international en développement commercial et expert en stratégies de croissance digitale, a offert des clés concrètes pour structurer, développer et faire grandir une startup. Selon lui, la réussite dans un monde numérique repose sur trois piliers : vision, rigueur et stratégie. « 𝘓𝘦 𝘥𝘪𝘨𝘪𝘵𝘢𝘭 𝘯’𝘦𝘴𝘵 𝘱𝘢𝘴 𝘶𝘯𝘦 𝘰𝘱𝘵𝘪𝘰𝘯, 𝘤’𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯𝘦 𝘰𝘣𝘭𝘪𝘨𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘴𝘵𝘳𝘢𝘵𝘦́𝘨𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘵𝘦 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘷𝘦𝘶𝘵 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘳𝘶𝘪𝘳𝘦 𝘶𝘯𝘦 𝘮𝘢𝘳𝘲𝘶𝘦, 𝘶𝘯 𝘱𝘳𝘰𝘫𝘦𝘵 𝘰𝘶 𝘶𝘯 𝘢𝘷𝘦𝘯𝘪𝘳 𝘴𝘰𝘭𝘪𝘥𝘦», a-t-il affirmé.

Le second panel, intitulé « Réinventer l’éducation – L’impact des technologies sur l’apprentissage du futur », a réuni des profils complémentaires autour d’un objectif commun : faire de la tech un levier d’apprentissage inclusif. Eliette Koulou (Business Development Manager), Ornella Tchalla (Directrice Pays de FIGS Education Togo), Médissa Sama (Présidente de la CJET) et Yao Alain Gaba (YAG) (Responsable Régional chez Ready Study Go) 𝗼𝗻𝘁 𝗮𝗯𝗼𝗿𝗱𝗲́ 𝗱𝗲𝘀 𝘁𝗵𝗲̀𝗺𝗲𝘀 𝘁𝗲𝗹𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲́𝗴𝗿𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗜𝗔 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹’𝗮𝗽𝗽𝗿𝗲𝗻𝘁𝗶𝘀𝘀𝗮𝗴𝗲, 𝗹𝗲 𝗱𝗲́𝘃𝗲𝗹𝗼𝗽𝗽𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗲́𝘁𝗲𝗻𝗰𝗲𝘀 𝗵𝘂𝗺𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝘂𝗻 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲 𝗱𝗶𝗴𝗶𝘁𝗮𝗹, 𝗲𝘁 𝗹’𝗶𝗺𝗽𝗼𝗿𝘁𝗮𝗻𝗰𝗲 𝗱𝘂 𝗹𝗲𝗮𝗱𝗲𝗿𝘀𝗵𝗶𝗽 𝗳𝗲́𝗺𝗶𝗻𝗶𝗻 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲 𝘀𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿 𝗲́𝗱𝘂𝗰𝗮𝘁𝗶𝗳. Leur conviction est sans détour : « 𝘙𝘦́𝘪𝘯𝘷𝘦𝘯𝘵𝘦𝘳 𝘭’𝘦́𝘥𝘶𝘤𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯, 𝘤’𝘦𝘴𝘵 𝘥𝘰𝘯𝘯𝘦𝘳 𝘢̀ 𝘤𝘩𝘢𝘲𝘶𝘦 𝘫𝘦𝘶𝘯𝘦 𝘧𝘪𝘭𝘭𝘦 𝘰𝘶 𝘨𝘢𝘳𝘤̧𝘰𝘯 𝘭𝘦𝘴 𝘤𝘭𝘦́𝘴 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘧𝘢𝘤̧𝘰𝘯𝘯𝘦𝘳 𝘭𝘦 𝘮𝘰𝘯𝘥𝘦 𝘥𝘦 𝘥𝘦𝘮𝘢𝘪𝘯. »

Autre moment fort, la keynote de Fiacre Dagbegnon, CEO de KLUMER, qui a plongé le public dans l’univers de l’innovation numérique à travers l’exemple de KLUMER, une plateforme événementielle complète pensée pour les organisateurs modernes.

KLUMER intègre des outils de billetterie, de vote en ligne et de financement participatif. Il démontre que l’Afrique peut créer ses propres solutions tech, puissantes et adaptées à ses réalités. « 𝘓𝘦𝘴 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘢𝘶𝘴𝘴𝘪 𝘱𝘦𝘶𝘷𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘳𝘦́𝘦𝘳 𝘥𝘦𝘴 𝘴𝘰𝘭𝘶𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘵𝘦𝘤𝘩 𝘱𝘶𝘪𝘴𝘴𝘢𝘯𝘵𝘦𝘴, 𝘶𝘵𝘪𝘭𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘢̀ 𝘧𝘰𝘳𝘵 𝘪𝘮𝘱𝘢𝘤𝘵 ! », a-t-il martelé. Cette keynote a renforcé la conviction qu’il est temps pour plus de femmes de se positionner comme créatrices de solutions, dans un secteur encore trop dominé par les hommes.

La journée s’est poursuivie sur une note introspective et puissante grâce à l’atelier 2 « DÉVELOPPEMENT PERSONNEL & LEADERSHIP » de Gado Bemah – Directeur Général de GIP Togo-Togo & Président de l’ONG STADD. Dans un moment de vérité et d’émotion, il a livré un atelier puissant mêlant motivation, inspiration, et expériences vécues. Il a partagé son parcours, ses débuts modestes, ses doutes, ses échecs transformés en leçons, et surtout, sa résilience face aux défis. À travers son témoignage, les participantes ont appris que le leadership ne naît pas dans le confort, mais dans les épreuves.

𝗜𝗹 𝗮 𝗮𝘂𝘀𝘀𝗶 𝗽𝗿𝗼𝗱𝗶𝗴𝘂𝗲́ 𝗱𝗲𝘀 𝗰𝗼𝗻𝘀𝗲𝗶𝗹𝘀 𝗽𝗿𝗮𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗽𝗼𝘂𝗿 :

Développer sa confiance en soi

Faire face à la peur de l’échec

Devenir une leader alignée avec ses valeurs

“𝘊𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘵𝘳𝘢𝘷𝘦𝘳𝘴𝘦𝘻 𝘢𝘶𝘫𝘰𝘶𝘳𝘥’𝘩𝘶𝘪 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘱𝘳𝘦́𝘱𝘢𝘳𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘤𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘦̂𝘵𝘦𝘴 𝘢𝘱𝘱𝘦𝘭𝘦́𝘦𝘴 𝘢̀ 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘳𝘶𝘪𝘳𝘦 𝘥𝘦𝘮𝘢𝘪𝘯.” A-t-il ajouté.

Le panel 3 sur l’Intelligence artificielle & opportunités pour les femmes a été un moment fort du festival, marqué par des témoignages inspirants et une vision claire : 𝘭𝘦𝘴 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘰𝘯𝘵 𝘵𝘰𝘶𝘵𝘦 𝘭𝘦𝘶𝘳 𝘱𝘭𝘢𝘤𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘭’𝘦́𝘤𝘰𝘴𝘺𝘴𝘵𝘦̀𝘮𝘦 𝘥𝘦 𝘭’𝘐𝘈 𝘦𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘵𝘦𝘤𝘩𝘯𝘰𝘭𝘰𝘨𝘪𝘦𝘴 𝘦́𝘮𝘦𝘳𝘨𝘦𝘯𝘵𝘦𝘴.

Les différents 𝗽𝗮𝗻𝗲𝗹𝗶𝘀𝘁𝗲𝘀 (Edwige D’almeida – CEO de MIB SERVICES SARL | Experte en solutions B2B & IT industrielles | Passionnée de tech & IA  –  Edourda ADADE – CEO & Co-fondatrice de Ndupé | Développeuse d’applications | Entrepreneure Food Tech engagée  – Akoua Awoudja – Conseillère technique à la GIZ/ProDigiT | Experte en transformation digitale & intelligence artificielle) 𝗼𝗻𝘁 𝗽𝗮𝗿𝘁𝗮𝗴𝗲́ 𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗼𝘂𝗿𝘀, 𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗲́𝗳𝗶𝘀 𝗲𝘁 𝗹𝗲𝘀 𝗻𝗼𝗺𝗯𝗿𝗲𝘂𝘀𝗲𝘀 𝗼𝗽𝗽𝗼𝗿𝘁𝘂𝗻𝗶𝘁𝗲́𝘀 𝗼𝗳𝗳𝗲𝗿𝘁𝗲𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗹’𝗶𝗻𝘁𝗲𝗹𝗹𝗶𝗴𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗮𝗿𝘁𝗶𝗳𝗶𝗰𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝘀𝗲𝗰𝘁𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗰𝗹𝗲́𝘀 : santé, industrie, agriculture, éducation et entrepreneuriat.

Elles ont rappelé aux filles et aux femmes que l’IA n’est pas seulement un outil, c’est un levier d’inclusion, de croissance économique et de leadership féminin.

On retient que “𝘘𝘶𝘢𝘯𝘥 𝘭𝘦𝘴 𝘧𝘦𝘮𝘮𝘦𝘴 𝘴’𝘢𝘱𝘱𝘳𝘰𝘱𝘳𝘪𝘦𝘯𝘵 𝘭’𝘪𝘯𝘵𝘦𝘭𝘭𝘪𝘨𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘢𝘳𝘵𝘪𝘧𝘪𝘤𝘪𝘦𝘭𝘭𝘦, 𝘤’𝘦𝘴𝘵 𝘵𝘰𝘶𝘵𝘦 𝘭’𝘈𝘧𝘳𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘢𝘷𝘢𝘯𝘤𝘦.”

Edem Cyrille SOSSOUVI a durant le 𝗞𝗘𝗬𝗡𝗢𝗧𝗘 𝟯 : Analyse de données – Clé de pilotage pour les projets innovants, partagé son expertise avec clarté et impact, montrant comment les données peuvent devenir un levier de performance, d’agilité et d’anticipation pour les entrepreneurs, les startups et les porteurs de projets ambitieux.

𝗨𝗻𝗲 𝗶𝗻𝘁𝗲𝗿𝘃𝗲𝗻𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗽𝘂𝗶𝘀𝘀𝗮𝗻𝘁𝗲, 𝗾𝘂𝗶 𝗿𝗮𝗽𝗽𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗹’𝗶𝗻𝗻𝗼𝘃𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗻𝗲 𝘀𝗲 𝗽𝗶𝗹𝗼𝘁𝗲 𝗽𝗮𝘀 𝗮̀ 𝗹’𝗮𝘃𝗲𝘂𝗴𝗹𝗲 : elle se construit avec les bons outils, les bons chiffres et les bonnes analyses.

Plus qu’un simple événement, l’Africa Women Tech Festival est un véritable espace de rupture avec le statu quo, un lieu où les femmes prennent la parole, prennent leur place et prennent le pouvoir dans la tech africaine.

Africa Women Tech Festival 2025 confirme une chose essentielle : l’avenir de la technologie en Afrique s’écrira aussi et surtout au féminin. Prenez rendez-vous pour les prochaines formations et rencontres de cette deuxième édition !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *